Bois aujourd'hui pour étancher ta soif de demain.

Après son arrivée dans le train auquel les gens donnent le nom ronflant d'America-Express, Amaryllis Verger alla boire un verre au bar, tandis que le conducteur s'en alla déposer les affaires de l'auteur de plusieurs best seller dans sa suite. Assise sur une banquette renbourée de coussins devant une table, Lylli examina la pièce où elle se trouvait. Près des vitres, il n'y avait que des banquettes face à face; devant le bar, seules des tables basses faissaient place. Le décor était kitsch, noir gris et blanc. Elle était la seule cliente, pour tout dire, il n'était que 15 heure trente.
Enfin, le barman la remarqua et envoya un serveur à l'aspect blasé, âgé d'une trentaine d'année, passer la commande.


« Bonjour Mademoiselle. Soyez la bienvenue à bord de l'Amerci-Express. Je serai votre serveur aujourd'hui. Qu'est ce que je vous sers?» Demanda le serveur d'une voix blasé en lui tendant le menu.
Amaryllis ne prit pas la peine de le prendre et répondit, ironiquement:
« Je vous remerci de ce chaleureux acceuil à bord de se splendide train. Je prendrai un Schweps agrumes s'il vous plait.»
« Je vous ammène ça.»

Un quart d'heure plus tard, le serveur lui ammena un grand verre avec une rondelle de citron, puis lui ouvrit sa bouteille. Elle vida la moitié de son contenue dans son verre et le sirota.

Bois aujourd'hui pour étancher ta soir de demain

J'étais arriver le 14 juin dans ce luxueux train j'avais passer beaucoup de temps au Spa et au saune pour oublier mes problèmes ,en fait mon enfance n'avait as été si pire des parents assez proches de moi et une petite famille d'un seul petit enfant ,eh oui j'étais enfant unique.Tous le monde dit que les enfant unique sont des égoïste mais ce n'ai pas vrai .À 4 ans je donnais déjà mes jouets au autre enfant tant que mes parents devait me gronder pour que je les gardes.J'appris très vite vers le 7 ans que les plus vieux peuvent toujours vous faire mal ou vous trainer dans la boue pire encore vous insulter ! À douze ans ma mère meurt d'une crise cardiaque et je dit a mon père tous ce que les plus vieux me font .Ce jour-là je le maudirait toutes ma vie ! Il fit de moi une machine a tuer :à quinze ans vous êtes supposé vous éclater avec vos potes mais mes potes a moi c'étais les mur d'un dojo de combat.Je suis ceinture noire en kung-fu, je pratique le karaté , le juji-tsu et le muay-thai(une sorte de boxe européenne).J'ai des réflexes d'une rapidité qui bat tous les records.Je suis un excellent tireur ,proche de la perfection même .Je peut soulever un gars de 90 kilos ! Je suis capable de mettre une raclé a n'importe qui .Je ne me vante pas ! Je le regrette d'ailleurs,je regrette que mon père ai fait de moi... ce que je suis devenu. Un monstre voila ce que je suis devenu un garçon qui défendait les plus faibles au dépend des plus fort.Je me hais ,non ! Je hais mon père d'avoir fait ça ! Entrainement douze par jours ,sept jours par semaine .
Alors ce matin je me levais en forme comme d'habitude je pris un chandail par terre comme d'habitude ,attrapais un jean me sauvait dans ma salle de bain et pris une bonne douche chaude. La chaleur ça c'étais mon truc ! Ça me faisait oublier tout tout tout ! Et j'en avait bien besoin quand je sortis de la douche c'est comme si tout me fonçait dedans pour me faire tomber mais j'étais prêt a tous combattre !Je pris mon chapeau et me dirigeas vers le bar aller prendre un petit verre non j'avais l'intention de me saouler complètement pour ne plus penser a ce salaud ,donc je vous parlais un peu plus tôt quand j'entrai dans la place je vis qu'il n'y avait pas grand monde juste les saoulons habituel et quelque nouveaux passager.
Je m'assit sur un tabouret et commandait une bière blonde.C'est la que je vis une fille si jolie que s'en était impossible ! Une envie irrésistible de m'approcher.Redut devant elle.

-Salut

Dis-je simplement .Avant de lui faire un petit sourire.

[dsl de ne pas en faire plus mais j,ai pas d'inspiration ]

La jeune fille avait sortit un livre qu'elle avait commencé à lire. Elle vit un jeune homme relativement charismatique entrer dans la salle vide. Ce n'est pas la venue de cet étranger qui la dérangea, ni même le fait qu'il la dévisageait. Elle continuait à lire son live, passionné : Le crime de L'Orient-Express, publié en 1934 et écrit en 1933. C'était une aventure du Belge préféré des lecteurs assoiffés. Le célèbre détective ,de cette chère vieille écrivaine que fut Agatha Christie, dont la fausse modestie inspirait cette jeune romancière. Ah! Il fallait voire la série Hercule Poirot! David Suchet jouait le rôle de célèbre détective, uniquement intéressé par les enquête difficiles, à la perfection. Ce petit Belge à l'âge mûr de petite stature, avec une tête en forme d'œuf, une apparence de dandy, des cheveux teints, fausses moustaches en croc soigneusement cirées, toujours tiré à quatre épingles, impeccablement vêtu, et soucieux de sa morale autant que de son confort. Ses moustaches font sa fierté, à l'égal de l'inestimable valeur qu'il accorde à son intelligence, mais il n'hésitera pas à les sacrifier temporairement, pour une bonne cause, dans un des premiers romans. Hercule Poirot est vaniteux, imbu de sa personne et aimant à être complimenté. Il se considère presque infaillible et ne manque pas ainsi d’affronter les adversaires les plus terribles, qui, le jugeant quelque peu ridicule, ont tendance à le sous-estimer.
Il a une obsession de l'ordre et dédaigne les méthodes d'enquête traditionnelles consistant le plus souvent à se mettre à genoux pour chercher des indices. Il préfère une approche psychologique du crime, allant jusqu'à parier avec son meilleur ami et parfois partenaire, Arthur Hastings, qu'il est capable de résoudre une affaire à l'aide de ses « petites cellules grises », en restant confortablement assis dans un fauteuil. Hercule Poirot aime l’ordre et met en valeur les petits détails qui peuvent paraître insignifiants aux yeux de tous mais qui constituent au contraire des éléments indispensables à la découverte de la vérité, s’ils sont rangés dans l’ordre, à la manière d'un puzzle, et ajoutés à des témoignages astucieusement déclenchés par l’intelligence du détective. La divulgation de la vérité est le prétexte d'une mise en scène qu'il organise lui-même et qui rassemble tous les protagonistes de l’histoire. C’est lors de ces réunions que Poirot décrit les différentes étapes de son enquête et dévoile les différentes hypothèses, en désignant pour chaque cas un meurtrier possible, avant de conclure à la seule solution viable. Et tout cela, passionait Lylli. Surtout qu'il était casi-impossible de trouver le coupable en lisant les livres ou en regardant les films, puisque des détails ne sont pas écrits/montrés.


Le jeune homme s'avanca vers elle et la salua, ce qui lui enleva Poirot de la tête.

« Bonjour ... Je m'appelle Amaryllis Verger.» Ajouta t-elle après quelques instants d'hésitations en lui souriant à son tour et en posant son livre.

(viens répondre!)

Dans mon enfance personne ne m'avait jamais dit quoi faire . Mes parents n'avaient jamais été très sérieux et avaient toujours eu un amour inconditionnel pour moi . Mes plus belles années avaient été entre les cinq et six ans . J'avais adorer ces années ou j'avais entré a l'école , la maternel, j,avait appris a écrire et lire. Tous de suite mes parents ont voulu que je commence a lires des briques de deux cents pages. Pour un enfant de sept ans deux cents pages c'était beaucoup. Pour ça je n'ai pas aimé ma mère pendant plusieurs années j'étais loin de me douter qu'elle mourait cinq ans après .A cette age j,étais encore la a pleurnicher parce que je ne voulait pas faire mes devoirs ou a crier et tirer la langue en signe d'insulte. Mon père faisait partie d'une société secrète qui avait pour but de protéger les membres en la famille de chaque membres. A mon grand désarroi je n'avait jamais eu le temps de devenir un jeune normal, donc a l'adolescence j'avais été vraiment perdu lorsque je suis arriver au secondaire . Moi qui avait apprit a me consacrer a mes études a seulement me consacrer a mes études et je n'avait eu que pour seul ami ,bien des amis, des livres et des manuels. Alors quand vint le temps de me faire des amis , je ne savait pas comment faire et je n'étais pas très bon avec les mots donc j'avais pas mal été le nerds de l'école tout le monde me regardait hautainement ,j'avais des 90-95% partout .C'est pour cette raison que les plus vieux m'avait toujours martyriser. Mais en plein milieu de l'année quand ma mère mourut, je crus que tous s'étais arrêter. Ma vie , ma croissance, les cours d'eaux , que la terre avait arrêter de tourner bref, que la fin du monde était proche .Je décidait donc de tout balancer a mon père:mes problèmes, mon manque de social et surtout mon manque d'assurance avec les filles . Il faut le dire j'étais assez mignon .Mes muscle avaient commencer a percer le jour en mon visage s'était durcit. Devenut plus carré et sérieux j'attirait beaucoup de filles mais je ne savait pas comment m'y prendre. Mais bientot après la mort de ma mère et que mon père m'appris a me battre je pus me déffendre face a mes attaquants.J'aimait même me battre maintenant! Et j'avait plus d'assurance.

Je recconnaisait très bien le livre que Amarillys tenais dans sa main droite. Le crime de L'Orient-Express, un classique de 1934 .

« Le crime de L'Orient-Express, est un très bon choix ...»


[Je suis vraiment désolé je suis déborder de topics ces temps-ci .. (L)]

Dans mon enfance personne ne m'avait jamais dit quoi faire . Mes parents n'avaient jamais été très sérieux et avaient toujours eu un amour inconditionnel pour moi . Mes plus belles années avaient été entre les cinq et six ans . J'avais adorer ces années ou j'avais entré a l'école , la maternel, j,avait appris a écrire et lire. Tous de suite mes parents ont voulu que je commence a lires des briques de deux cents pages. Pour un enfant de sept ans deux cents pages c'était beaucoup. Pour ça je n'ai pas aimé ma mère pendant plusieurs années j'étais loin de me douter qu'elle mourait cinq ans après .A cette age j,étais encore la a pleurnicher parce que je ne voulait pas faire mes devoirs ou a crier et tirer la langue en signe d'insulte. Mon père faisait partie d'une société secrète qui avait pour but de protéger les membres en la famille de chaque membres. A mon grand désarroi je n'avait jamais eu le temps de devenir un jeune normal, donc a l'adolescence j'avais été vraiment perdu lorsque je suis arriver au secondaire . Moi qui avait apprit a me consacrer a mes études a seulement me consacrer a mes études et je n'avait eu que pour seul ami ,bien des amis, des livres et des manuels. Alors quand vint le temps de me faire des amis , je ne savait pas comment faire et je n'étais pas très bon avec les mots donc j'avais pas mal été le nerds de l'école tout le monde me regardait hautainement ,j'avais des 90-95% partout .C'est pour cette raison que les plus vieux m'avait toujours martyriser. Mais en plein milieu de l'année quand ma mère mourut, je crus que tous s'étais arrêter. Ma vie , ma croissance, les cours d'eaux , que la terre avait arrêter de tourner bref, que la fin du monde était proche .Je décidait donc de tout balancer a mon père:mes problèmes, mon manque de social et surtout mon manque d'assurance avec les filles . Il faut le dire j'étais assez mignon .Mes muscle avaient commencer a percer le jour en mon visage s'était durcit. Devenut plus carré et sérieux j'attirait beaucoup de filles mais je ne savait pas comment m'y prendre. Mais bientot après la mort de ma mère et que mon père m'appris a me battre je pus me déffendre face a mes attaquants.J'aimait même me battre maintenant! Et j'avait plus d'assurance.

Je recconnaisait très bien le livre que Amarillys tenais dans sa main droite. Le crime de L'Orient-Express, un classique de 1934 .

« Le crime de L'Orient-Express, est un très bon choix ...»


[Je suis vraiment désolé je suis déborder de topics ces temps-ci .. (L)]